Jupe…culotte….ou jupe dans culotte…?!

C’est sans doute l’une des pires situations envisagées par ces demoiselles. Là où la fierté de paraître rencontre le ridicule d’être… Bien sûr, il y a bien plus dramatique, surtout quand, dans le tumulte des couloirs du métro, l’événement passe presque inaperçu.

Mais la suite est encore plus cocasse lorsque le jeune homme émoustillé ose enfin s’approcher pour avertir la jeune femme. Cette dernière suivant son regard insistant ne peut s’empêcher… de le gifler avant de le remercier. Puis de s’enfuir, le fard au joues, d’un pas alerte tout en arrangeant sa tenue…

Enfin une anecdote « croustillante » qui vient à point nommer pour rompre ce trop long « silence du crayon ».

Arachnophobie sur la 8

Un cri strident, des brusques mouvements de bras et des mains…

Une agression en plein métro ligne 8 ??

Non moins banal que cela !!!

Une demoiselle qui après avoir hurlée à la mort, rassure ses voisins de métro en expliquant, un petit sanglot dans la voix:

« C’est rien, juste une araignée »…

« Mais elle était grosse, quand même !!! »

L’agresseur ne pouvait hélas plus témoigner de sa propre taille (2 mm environ !) et de la violence de l’attaque… collé sous la chaussure d’une passagère courageuse.

Cela ne se contrôle pas. Bien indélicat celui qui viendrait à se moquer et prétendre n’avoir aucune phobie…

Froid devant…

Pas de situation cocasse, ni de maladresse pour cette anecdote mais juste un brin de naïveté.
Euforie des uns, agacements des autres face au blanc manteau, font tenir des propos bien… décalés
Fragilité, innocence de l’âge, ces collégiens déconcertent malgré tout et prêtent à sourire…ou à se moquer…
Plus que cela même, ce manque flagrant de maturité interpelle et laisse perplexe le voisin temporaire que je suis alors…

Cool Man !!!

Réunissez dans un même espace, 2 individus aux tempéraments bien distincts.

Chacun n’aura pas la même manière d’apprécier les minutes qui passent.

L’un comptant sur la rapidité des transports pour rentrer chez lui au plus vite après une journée de travail harassante.

Le second, bercé par le tangage des wagons laisse couler le temps et en perd peu à peu la notion.

Mais lorsque que l’imprévu survient, c’est pour le spécimen le plus « détendu » que la situation devient vite insurmontable et qu’elle devient le prétexte à une complainte interminable sur les conséquences de ce loupé…

Je remercie Mathieu pour m’avoir raconté cette anecdote et avoir su m’inspirer afin de vous la mettre en image, pour votre plus grand plaisir. Enfin je l’espère!

Ams…Tram…Drame !!!

Toujours aussi pressée, la passante survoltée veut à tout prix attraper son tramway…En méconnaissant l’usage conventionnel d’une porte…ou en l’oubliant l’espace d’un instant, elle espère certainement gagner un peu de temps…Quitte à, ce moment là, perdre une chaussure, une écharpe, un sac à main…ou bien plus peut-être…

Quelle pensée pousse l’individu à un tel raisonnement ?

Quel instinct ?

Ou plutôt, quelle pulsion…. ???

Je remercie Angéline pour avoir su (entre quelques fou-rires) me raconter cette anecdote!

Colis suspect…

En raison de… d’une certaine période de fêtes… la vigilance est de rigueur ! Et pourtant dans l’effervescence d’une matinée de travail comme les autres, l’individu distrait ne manque pas de se faire remarquer par sa négligence et d’entrainer avec lui : courroux des uns, énervements des autres, impatiences, retards, contrariétés en oubliant l’essentiel: que cela pourrait un jour faire boum. Alors ne nous y trompons pas, tant que le risque existe, tant que la menace n’est pas définitivement supprimée, ce genre de « maladresse » n’est pas prêt de disparaître et le véritable responsable est-ce celui qui oublie son sac ou sa valise ou bien ceux responsables de cette menace ?!…

Il semblait plus opportun de dessiner cette anecdote du point de vue du « distrait » plutôt que de là où je l’ai vécue: bord de quai, bondé et ambiance tendue…

Je remercie Christophe qui m’a habilement suggéré l’idée.

M’as-tu vu ?!

Ces petites phrases qui mettent dans l’embarras parce que placées dans un contexte, ou une situation  particulière, elles perdent leur sens premier. Mais cela devient encore plus déstabilisant dès lors que le sujet de la bévue en profite pour lâcher, sur le ton de l’humour sa propre conclusion et du même coup se rire d’une situation trop souvent vécue sur le ton du drame. Alors bien sûr, on peut en rire à son tour. Oublier, s’en moquer ou encore relativiser le sinistre de la situation, se dire que la  Ratp met tout en oeuvre pour palier ce genre d’handicap. Que d’autres n’ont pas cette chance… et que c’est un moindre mal… Et finir par culpabiliser sur sa propre normalité et la banalité de son quotidien.

Paranoïa

Un sac un peu délaissé, un individu…  au comportement louche… Quand la suspicion règne en maître. Que l’imaginaire échafaude les scénarios les plus aberrants. Que tout est prétexte à se méfier de tout, on sombre dans les tourments de la paranoïa. Les peurs les plus incontrôlables envahissent l’esprit et donnent lieu à des regards qui en disent long. Ne vous méprenez pas, je ne surfe pas avec l’actualité du moment même, si je dois l’avouer, elle vient à point nommé! En fait, l’anecdote est dans ma trousse avec mes crayons depuis un moment déjà. Car hélas, le sujet est et sera toujours d’actualité. C’est un fait, cela fait parti désormais de notre société. Nous devons vivre avec. Comme un bonus du « Pass Navigo ». C’est pourquoi devant le sinistre de la situation, mais sans aucun cynisme de ma part, un petit dessin peut être le bien venu pour dédramatiser tout cela!

Même si le sourire est pour l’heure de mise, pour autant, ne relâchez pas votre attention…

Le « Toutou »

Le sujet principal de cette histoire n’est pas celui que l’on remarquerait en premier lieu.

Devant sa fragilité évidente face à ce monde de géants, il fait preuve de la plus grande prudence. et c’est pour cette raison, qu’aussi petit qu’il soit, il mérite toutes les attentions. Alors bien sûr, les égards de certains ne sont pas dénués d’intérêts…

mais le burlesque de la situation n’est pas là. Il saute au yeux que: là où les incivilités, bousculades et autres bassesses règnent en maître et rythme le quotidien de ces couloirs, l’Homme éprouve ici plus de respect pour ce petit être que pour tous ses semblables.

Quelle conclusion en tirer?

Achetez tous un mini-chien, et demain les couloirs et rames de métro ou rer, deviendront des hauts lieux du savoir vivre et du bienséant parisien!!!

Si, si croyez-moi. Cela ne fait aucun doute….

La barre…

Rien ne ressemble plus à une barre… qu’une autre barre !!!

Et quand on se retrouve dans une situation stupide, quelle attitude adopter??  Assumer… Rire de la situation, s’en amuser ou feindre l’indifférence… Le choix est difficile et la scène laisse peu de temps à la réflexion. Alors le plus souvent le choix nous est dicté par notre société, notre éducation qui nous oblige à corriger sans trop de vagues l’événement, sous peine d’une humiliation difficile à gérer…

Même si perdu dans la foule, l’incident peu passer inaperçu et c’est souvent le plus grand souhait de la victime, l’oeil averti ou tout simplement bien placé, peu saisir l’instant…

Merci Sophie, et j’espère que j’aurai su restituer cet instant, cette anecdote avec autant de réalisme que tu as su la décrire !